Apiculture Belle & Consciente

Apiculture
Belle & Consciente

Auto-Certification Souveraine

Après 7 années de certification en Agriculture Biologique, je décide de poser un acte souverain, je crée une Auto-Certification Souve-Reine ABC, pour une nouvelle Apiculture Belle et Consciente, plus douce, respectueuse, naturelle, résiliente et sensible.

Le fruit arrivé à maturité de ces années d’explorations, sur la voie de la Médecine des Abeilles.

Durant ce riche parcours de maturation les abeilles m’ont enseigné l’état de présence, d’unité, d’inconditionnalité, de reliance, d’écoute et de confiance. Elles sont de véritables maîtresses sur le chemin de la connaissance de soi …

Auto-certification souveraine Apiculture Belle et consciente
Auto-certification souveraine Apiculture Belle et consciente

Auto-Certification Souveraine

Après 7 années de certification en Agriculture Biologique, je décide de poser un acte souverain, je crée une Auto-Certification Souve-Reine ABC, pour une nouvelle Apiculture Belle et Consciente, plus douce, respectueuse, naturelle, résiliente et sensible.

Le fruit arrivé à maturité de ces années d’explorations, sur la voie de la Médecine des Abeilles.

Durant ce riche parcours de maturation les abeilles m’ont enseigné l’état de présence, d’unité, d’inconditionnalité, de reliance, d’écoute et de confiance. Elles sont de véritables maîtresses sur le chemin de la connaissance de soi …

Abeilles Biodynamie Résilience

Une nouvelle relation

Une nouvelle relation

C’est avec beaucoup de gratitude que je ne me positionne plus comme un apiculteur exploitant mais comme un accompagnant/accompagné d’abeilles, la finalité n’étant plus axée sur la production, mais véritablement d’Être avec les abeilles, et de partager leurs messages.

A la suite de ces 18 années d’apprentissages, sur divers chemins, en tant que technicien apicole, chargé d’expérimentations, chef d’équipe au Canada, formateur, éleveur de reines, producteur de miels et d’essaims, j’arrive au constat évident que ces modèles asservissent l’abeille dans un contrôle attentiste, anthropocentriste, entravant leur déploiement naturel.

Naturellement, les abeilles n’ont pas besoin de nous pour être en bonne santé. Néanmoins par nos pratiques, l’élevage intensif, l’agriculture industrielle, la dégradation de l’environnement, nous ne leur offrons plus un espace sain dans lequel elles peuvent prospérer, nous les avons rendues dépendantes et instrumentalisées.

Les abeilles soignent le monde, et nous avec, pour ne citer qu’un exemple sans elles : 2/3 des plantes que nous consommons ne seraient fécondées.

Elles nous rappellent notre reliance à tout ce qui est, à l’unité, à la présence, à l’abondance qui nous entoure, au don inconditionnel de leur œuvre.

Le prélèvement du miel

Les miels que je propose sont prélevés en conscience des besoins de chaque colonie , veillant à leur laisser le maximum de miel afin de ne pas à avoir à les nourrir avec des succédanés sucrés.

Les récoltes se font tout en lenteur, en douceur , en présence de chaque geste, dans le calme émotionnel, « sans protection » ( bas les masques!), car si l’alignement n’est plus là elles me le rappellent à leur manière !

Dans mon expérience le miel, le cristal de la ruche, s’imprègne également des vibrations, des émotions de l’apiculteur.

Je prélève chaque année une moyenne de 2kg par ruche, veillant à homogénéiser les réserves sur chaque colonie et à leur laisser, à minima une hausse pleine ( équivalent à une quinzaine de kilos de miel)

L’extraction du miel se veut aussi douce, lente, en conscience et sans chauffe afin de préserver toutes les qualités du miel. Elle se fait à la cuillère en argent (en attendant celle en or !), en grattant délicatement les rayons et en laissant naturellement couler le miel. L’oxydation y est bien réduite par rapport à la centrifugation communément utilisée par les apiculteurs, ce qui préserve tous les

bienfaits de ces précieux« miel-veilleux » ! 

 

Le prélèvement du miel

Les miels que je propose sont prélevés en conscience des besoins de chaque colonie , veillant à leur laisser le maximum de miel afin de ne pas à avoir à les nourrir avec des succédanés sucrés.

Les récoltes se font tout en lenteur, en douceur , en présence de chaque geste, dans le calme émotionnel, « sans protection » ( bas les masques!), car si l’alignement n’est plus là elles me le rappellent à leur manière !

Dans mon expérience le miel, le cristal de la ruche, s’imprègne également des vibrations, des émotions de l’apiculteur.

Je prélève chaque année une moyenne de 2kg par ruche, veillant à homogénéiser les réserves sur chaque colonie et à leur laisser, à minima une hausse pleine ( équivalent à une quinzaine de kilos de miel)

L’extraction du miel se veut aussi douce, lente, en conscience et sans chauffe afin de préserver toutes les qualités du miel. Elle se fait à la cuillère en argent (en attendant celle en or !), en grattant délicatement les rayons et en laissant naturellement couler le miel. L’oxydation y est bien réduite par rapport à la centrifugation communément utilisée par les apiculteurs, ce qui préserve tous les

bienfaits de ces précieux« miel-veilleux » ! 

Le nourrissement

Les abeilles ne butinent pas du sucre et encore moins de la canne à sucre (bio brésilienne), les humains peuvent se passer de sucre mais les abeilles non. L’usage de sucre dans les pratiques apicoles conventionnelle ou AB est devenu incontournable. Que ce soit pour stimuler le développement des colonies au printemps ou pour s’assurer d’une quantité satisfaisante de  »réserves » hivernales. 

La météo variable, la baisse de la biodiversité, la sélection génétique, un surprélèvement de miel, entres autres nous amènent à ces pratiques.

Dans mon approche, je préfère très peu prélever. Afin de laisser le maximum de réserve à la ruche. Pour les nourrir en hiver j’utilise uniquement du miel (et un peu d’eau) dans les ruches, et cependant il m’arrive de retrouver des abeilles mortes de faim. Au besoin, je leur offre du miel de cru des années précédentes comme en 2021 où le printemps a été défavorable, et 400kg de rhododendron, tilleul châtaignier, bruyère ont été redonnés. 

Le Nourrissement

Les abeilles ne butinent pas du sucre et encore moins de la canne à sucre (bio brésilienne), les humains peuvent se passer de sucre mais les abeilles non. L’usage de sucre dans les pratiques apicoles conventionnelle ou AB est devenu incontournable. Que ce soit pour stimuler le développement des colonies au printemps ou pour s’assurer d’une quantité satisfaisante de  »réserves » hivernales. 

La météo variable, la baisse de la biodiversité, la sélection génétique, un surprélèvement de miel, entres autres nous amènent à ces pratiques.

Dans mon approche, je préfère très peu prélever. Afin de laisser le maximum de réserve à la ruche. Pour les nourrir en hiver j’utilise uniquement du miel (et un peu d’eau) dans les ruches, et cependant il m’arrive de retrouver des abeilles mortes de faim. Au besoin, je leur offre du miel de cru des années précédentes comme en 2021 où le printemps a été défavorable, et 400kg de rhododendron, tilleul châtaignier, bruyère ont été redonnés.